A Mauperthuis, cette sophrologue vous aide à cultiver votre positive attitude

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Elodie Schartier a ouvert son cabinet de sophrologie à Mauperthuis, début janvier.  ©VA/LPB

Encens, Palo Santo, sauge blanche. Elodie Schartier souhaitait « un lieu avec de bonnes énergies », c’est effectivement un petit cocon qu’elle a aménagé dans son cabinet à Mauperthuis.

Les odeurs caressantes, la musique zen en bruit de fond, les plantes, la luminosité, tout concourt à un bien-être immédiat. Cette psycho praticienne est spécialisée dans la sophrologie et dans la thérapie cognitive et comportementale (TCC) et la programmation neurolinguistique (PNL).

Des termes savants qui ont pour vocation de transformer positivement les pensées négatives. Interview.

Quel est le but de la sophrologie ?

L’idée, c’est d’améliorer le quotidien. Je ne suis pas une psychologue. Le but, c’est de prendre un coup de boost, c’est de se séparer d’un certain schéma cognitif qui n’est plus approprié et d’éventuellement le comprendre.

Je me suis spécialisée dans les angoisses et dans la prise de confiance.

Par quoi sommes-nous angoissés ?

C’est très varié. Ça peut être des angoisses liées à des examens ou à des entretiens professionnels.

Ça peut être des crises d’angoisse. De plus en plus de gens sont angoissés.

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Le covid a fait de sacrés dégâts. Cette période a été très compliquée pour nous tous. L’objectif est de repartir sur des bonnes bases et positiver.

Comment fait-on pour réussir à positiver ?

Tout dépend de l’objectif. Lors du premier entretien, il s’agit de mettre en place un échange qui permet de déterminer les besoins de la personne avec ces trois outils que sont la TCC, la PNL et la sophrologie afin de partir vers des séances les mieux adaptées.

Une séance de sophrologie apporte immédiatement un bien-être et un lâcher prise. Et puis, on peut éventuellement approfondir et permettre des prises de conscience de certaines pensées négatives pour en avoir de meilleurs. 

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Comment se passe un séance ?

Lors de la première séance, on détermine donc un objectif avec un nombre de rendez-vous approximatifs, autour de dix en moyenne, on reste sur de la thérapie brève. Ensuite, à chaque séance, on fait un debrief de ce qu’il s’est passé pendant la semaine et on continue à travailler en TCC ou PNL. Parfois, il y a des exercices à faire à la maison. J’accompagne les personnes qui viennent me voir, il faut vraiment qu’il y ait une motivation.

Ce sont eux qui ont les clefs, je les aide simplement à les trouver. En sophrologie, la personne s’installe sur un fauteuil à bascule très confortable et se laisse aller dans un état de relaxation approfondie grâce à des visualisations. 

Comment êtes-vous venue à la sophrologie ?

J’étais coiffeuse, j’ai eu un salon pendant quinze ans à Rozay-en-Brie. Dans ce métier, on recueille beaucoup de confidences des clients, on a cette faculté d’écoute. Et puis, personnellement, des gens m’ont tendue la main pendant une période compliquée.

A partir de ce moment-là, j’ai ressenti la nécessité de tendre moi-même la main aux personnes en difficulté, de leur dire qu’on peut y arriver, qu’il y a toujours une lumière au bout du tunnel. Aujourd’hui, j’ai besoin d’aider les gens à aller mieux.

Le positif attire le positif

Elodie Schartier

Comment vous êtes-vous formée ?

Je me suis formée en PNL par une personne de Process Evolution qui a son local ici et qui m’a proposée une salle à côté de son bureau. Ca n’a pas été facile. Il a fallu que je vende mon salon. En tant qu’artisan, on n’a droit à rien.

L’argent de la vente du salon m’a permis de financer ces formations. Ce n’est pas toujours simple mais quand on a un rêve, il faut se donner les moyens d’y arriver. je suis de ceux qui croient que rien n’arrive par hasard. Aujourd’hui, je propose une prise de rendez-vous via Resalib sur internet. Doctolib refuse les praticiens de médecine douce. Pourtant, 21 mutuelles prennent la sophrologie en charge. 

Quel conseil donneriez-vous aux lecteurs qui souhaitent adopter la positive attitude au quotidien ?

Le réflexe qu’on devrait tous avoir, c’est de chercher le positif dans chaque situation. Il y en a toujours une, même si on ne la voit pas forcément tout de suite. A chaque malheur, il y a du positif qui contrebalance. Il faut essayer de se focaliser sur ça et essayer d’avoir des pensées positives. J

e crois aussi à la loi de l’attraction, on attire ce qu’on pense. Le positif amène le positif. On a tous un passé, un bagage mais, avec une prise de conscience et un travail adapté, on est tous apte au bonheur. 

Elodie Schartier au 26, rue de Montesquiou, Mauperthuis. Consultations sur rendez-vous au 06 73 37 74 83 ou via Resalib. Tarif : 60 € la séance. Facebook : elodieschartier_sophro_tcc_pnl

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A Mauperthuis, cette sophrologue vous aide à cultiver votre positive attitude

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